#Tant qu'on rêve encore
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Tant qu'on rêve encore~Le Roi Soleil English Trans-lyrics
These are my English trans-lyrics for Tant qu'on rêve encore from Le Roi Soleil. This is the final song of the musical, and the final trans-lyrics I have for this musical. It's been a long journey here with many life events, but I am glad I finally finished making trans-lyrics for the musical (T_T)
All of the Le Roi Soleil songs I have written lyrics for
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Know “Once upon a time” Makes stories come to life Begin In memories, you’ll find Dreams of your youth reside Within
We’re born, then living Without choosing Really
As long as we dream We will be shocked what we see All’s not lost then As long as we dream No one else will fall asleep Have their dreams end Not again
We all keep moving Among those we can’t reach We face The giants but just keep Trying to find the peak Our place
We all live our lives Forgetting time Goes by
As long as we dream We will be shocked what we see All’s not lost then As long as we dream No one else will fall asleep Have their dreams end Not again
“Once upon a time” Brings all things to life We see days go by (“Once upon a time”) And take life in stride
With all its mistakes Its laws and its lies Happiness seems fake When it’s out of sight
There’s joy in life Just being alive Is fine
As long as we dream We will be shocked what we see (be shocked what we see) All’s not lost then As long as we dream (as long as we dream) No one else will fall asleep (Oh~ oh~) Have their dreams end
As long as we dream (as long as we dream) We will be shocked what we see All’s not lost then (then~) As long as we dream No one else will fall asleep Have their dreams end Not again
#le roi soleil#Tant qu'on rêve encore#Emmanuel Moire#merwan rim#Anne-Laure Girbal#Victoria Petrosillo#christophe mae#Cathialine Andria#Lysa Ansaldi#translyrics#song set
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Je sais... Je sais comme à l'intérieur tu as mal. Je sais comme parfois tu pleures sans que personne ne le sache. Je sais que tu vis dans la peur d'être jugé. Je sais comme tu attends depuis longtemps des relations profondes et sincères. Je sais comme une parole peut t'impacter telle une balle qui vient trouer ton coeur. Je sais comme dans ce monde tu as déjà beaucoup souffert. Je sais que tu as toujours beaucoup donné, voir trop au point même de ne plus savoir qui tu es. Je sais comme certains, certaines ont cherchés à éteindre ta lumière. Je sais comme tu penses depuis si longtemps que tu seras seul ici toute ta vie. Je sais comme tu es émotionnellement épuisé. Je sais que parfois tu es fatigué de te battre. Je sais comme parfois tu tournes ton regard vers le ciel, implorant de l'aide, qu'on vienne te libérer. Je sais à quel point on a cherché à te changer. Je sais comme on t'a maltraité, comme chaque cellule et chaque parcelle de ton corps ont été fracassées. Je sais qu'il est difficile pour toi de trouver ta place et ta voix. Je sais que tu as peur de souffrir encore. Je sais que tu restes seul parce que tu as peur que personne ne te comprenne et ne t'accueille tel que tu es. Je sais que tu ne comprends pas pourquoi toi tu fais tout avec le coeur et pourquoi les autres pas. Je sais cette profonde solitude qui vit en toi. Je sais comme tes émotions parfois t'étouffent et te donnent mal au ventre. Je sais comme tu étouffes quand il y a trop de monde dans la pièce ou là dehors. Je sais comme tu aimes aider parfois même au détriment de ton énergie. Je sais comme tu n'oses même plus parler par peur qu'on vienne casser tes rêves. Moi voilà ce que je vois en toi... Je vois ta force de faire face à tant de choses et pourtant être encore en vie ici. Je te vois reconnaître le bon chez les gens et crois moi ce n'est pas donné à tout le monde. Je vois ta lumière, ta capacité d'amour et de pardon. Je te vois inchangé, aligné dans ta bonté quand beaucoup d'autres aurait déjà basculé dans l'obscurité à faire souffrir pour se venger. Je te vois comme fédérant et incarnant ce dont ce monde à le plus besoin. Je vois ton coeur pur et loyal. Je te vois capable d'affronter tous les combats que la vie te donnera, je ne vois pas un seul mal dont tu ne te relèverais pas. Je vois ta foi inébranlable et pourquoi tu mènes tes combats. Je vois comme tu ressens la vérité derrière les mots et les émotions des autres qui te rendent solidaire. Je vois comme ta sensibilité révèle ta qualité d'être. Je vois comme tes pleurs transpirent de vérité. Je vois comme tu pétilles et rayonnes quand tu acceptes simplement qui tu es sans ne plus mener de combat avec toi même. Et quand parfois tu penseras marcher seul, remets en toi à moi et aie confiance en toi.
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je suis toujours un peu en proie à une tension qui me partage entre l'espoir de tout abandonner, de ne plus rien donner et de ne plus me rabaisser à essayer d'être parfaite serviable gentille et dévouée jusqu'à la moelle, et la volonté de continuer à donner inconditionnellement le meilleur de moi-même quitte à me perdre, à me faire du mal et à m'oublier voire à le regretter tant mes efforts inconsidérés sont quelquefois loin d'être mérités, avec le recul. je crois qu'au fond de moi je rêve de tout arrêter et de laisser les choses s'en aller au lieu de courir après de la merde mais que dans le même temps j'idéalise un peu trop l'image d'une moi qui n'aurait rien à se reprocher, qui pourrait dire j'ai tout donné, mon cœur est pur, je suis allée jusqu'au bout sans me tâcher de quelque noirceur possible. mais c'est éreintant de toujours se mettre à la place des autres pour chercher à comprendre et d'y arriver si facilement, de cacher le plus loin possible ce que je ressens comme si ça ne valait rien, de pardonner et de consoler en ayant le sentiment que c'est souvent à sens unique. c'est fatigant cette impression d'être chargée d'une mission que je m'impose à moi-même. je me souviens que quand j'étais petite je croyais que tout le monde me détestait, que je ne suffisais pas et le problème c'est que j'ai grandi en voulant prouver que j'existais que j'étais aussi intéressante et en voulant gagner une place dans le cœur des gens que je n'avais pas l'impression d'avoir donc j'ai pris l'habitude de toujours vouloir faire trop d'efforts pour qu'on m'aime quand j'aime sauf que c'est inutile ça marche pas comme ça mais encore aujourd'hui quand on ne m'aime pas comme je le voudrais je prends ça comme un échec j'ai l'impression que c'est de ma faute, que je ne suis pas suffisante et ça me rend triste comme la moi de cinq ans. quand j'y pense c'est un peu comme si j'acceptais d'être dans la servitude et le don de moi car je sais que je n'ai rien d'autre à offrir parce que j'ai toujours autant de mal à voir ma plus value à me dire que j'ai autre chose à apporter que ça, je vois pas mon intérêt et je ne comprends réellement pas ce qui fait qu'on aime passer du temps avec moi vu que je n'aime déjà pas passer du temps avec moi.
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Bref l'histoire avec Spirou c'est que quelques jours plus tôt, quelqu'un a trouvé des caricatures archi racistes dans le dernier album. Genre vraiment, crades, les gens noirs dessinés comme des singes, comme ça, en l'an de grâce 2024.
Alors, avant de commencer, mettez-vous à ma place deux secondes. Il se trouve que je sais, de source sûre (le journal de spirou) qu'il y a un tome de Spirou qui doit sortir en Octobre, Mémoire du futur, la suite directe de l'album La mort de Spirou et qui fait des références à d'autres albums plus anciens, notamment l'album de 1998 Machine qui rêve. Dupuis est archi-hype, y a des interviews de l'auteur, je suis archi-hype, et puis je vois la sauce sur "le dernier album de Spirou" et je me dis oh nonnnnnnn y a des caricatures archi-racistes dans Mémoire du futur.
C'est logique, parce que, au moment où je vois la sauce, il est sorti depuis genre une semaine. Ça paraît même cohérent tendance bah, hommage à des albums anciens, ils ont voulu respecter un trait qui à l'époque faisait pas sourciller mais ne passe plus du tout maintenant - notez qu'il y a pas spécialement de caricatures racistes dans Machine qui rêve mais vous voyez l'idée, je passe de archi hype à archi deg, j'ai pas encore reçu ma dernière commande je me dis que je vais devoir renvoyer le Spirou direct, ça soûle.
Bref, la sauce prend pendant ptet 3 jours max avant que Dupuis sorte un communiqué dans lequel il annonce que, ayant entendu les récriminations du public, ils retirent l'album du circuit de distribution.
Sauf que bah. En fait c'est pas Mémoire du futur.
C'est un album de l'année dernière, septembre 2023, La gorgone bleue ; un album qui ne fait pas réellement partie de la série Spirou et Fantasio mais qui s'intègre à la série Spirou et Fantasio par..., un ensemble de BDs plus grand format dans lesquelles Dupuis laisse des auteurs divers faire mumuse avec l'univers de Spirou sous forme de spin-offs, et même si la moyenne qualité est plutôt haute (un peu parce qu'Emile Bravo fait remonter la note à lui tout seul avec les 5 tomes de L'espoir malgré tout mais quand même) bah y a à boire et à manger dedans hein, ça dépend qui écrit et qui dessine.
Et en fait j'ai jamais vu passer cette sortie là. A priori, au vu des réactions à la sauce qu'elle se prend, je suis pas la seule, mais bon moi je fais de la veille documentaire et j'avais quand même pas vu passer cette BD là. Et en l'occurrence, Yann et Dany, l'auteur et le dessinateur, sont quand même des gros noms qui ont bossé sur trop de trucs pour que je les cite, alors même si c'est juste un spin-off de Spirou c'est un peu bizarre que ça ait pas fait tant de bruit. Et puis, la rapidité avec laquelle Dupuis a réagi après coup, ça donne un peu l'impression qu'ils se rendaient un peu compte, je sais pas, genre, ils ont sorti le truc en scred en espérant que ça passe et puis un an plus tard quand enfin quelqu'un lit cette BD et réalise qu'elle craint, ils avaient le communiqué tout prêt à sortir pour dire que ok ils vont l'enlever.
Après, Rutile, la meuf de Colossale qui maintenant gère l'édition de webtoons chez Dargaud (est-ce qu'on parlera un jour des éditeurs qui se mettent aux plates formes en ligne, peut-être) disait après coup sur son Twitter que oui en vrai y a quasi pas de travail d'édition dans la BD maintenant et donc c'est entièrement possible que Dupuis ait juste laissé Dany et Yann en roue libre, surtout puisque c'est des gros noms, et sorti leur truc sans que personne vérifie ce qu'il y a dedans. Je vais la croire parce qu'elle s'y connaît sûrement mieux que moi sur le sujet. Quand même l'impression que quelqu'un a vu que ça craignait un peu et avait le doigt sur la gâchette au moment où quelqu'un d'autre s'en rendrait compte.
Mais du coup, voilà. Ça a lancé un peu de discussions autour des représentations racistes dans la BD et je sais pas si ça a vraiment secoué qui que ce soit, mais elle a le mérite d'être lancée. Je vous dirai si je vois des développements intéressants.
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Tout au milieu des étoiles (jour 26)
Regardez vous, c'est incroyable. Votre présence illumine et embellit les lieux. Vous rayonnez et aveuglez mes yeux. Je les aime et les envie tellement. Je suis si heureuse de les avoir. Si ce n'était pas le cas, je ne vous verrai pas. Je ne vous aurai jamais connues. Depuis que je vous ai vues pour la première fois, mon coeur bat un peu plus fort, battant toujours et encore. Il n'a jamais cessé de battre car il sait que vous êtes là, quelque part. Que même si vous êtes loin et que je ne peux vous atteindre, vous existez. Eclats de miroirs brisés ou miroirs encore intacts, qu'on tente de recoller les morceaux ou que l'on soit toujours accrochés au mur, nous demeurons malgré tout ce que la vie peut mettre sur notre passage. Je pense et j'espère que moi aussi, j'ai pu embellir un peu votre vie, en croisant votre chemin. Tant de mondes rentrés en collision, un amour si imposant et fort s'est formé en nous et à l'horizon. C'est là-bas que vous êtes et que je me trouve. Si proches et si éloignés à la fois. J'aimerai que les rêves romancés et pleins d'espoir prennent le pas sur mes cauchemars. Je souhaite plus que tout vous rencontrer, vous parler et vous atteindre dans mon palais mental, dans mon subconscient, à travers mes songes. Qui sait si je vous toucherai du bout des doigts un beau jour. Je n'en doute pas, même si j'ignore comment. Un jour je serai là, tout au milieu des étoiles et au firmament, entourée de ces mêmes étoiles qui ont éclairées mes nuits rien et ont fait chavirer mes jours pluvieux. Et au fond, même si j'aime éperdument l'obscurité et la pluie, je les préfère encore plus lorsque je suis en votre si douce compagnie.
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Où avons-nous perdu les pédales ? ( II ): L'islam(isme).
Résumons : La société française s'effondre sous nos yeux, dans un vaste dévoiement injustifiable de forces obscurantistes qui disent trouver dans l'assassinat à coups de couteau un nouveau moyen pour régler tout conflit-dispute-désaccord-regard de travers. La volonté de mensonge de nos gouvernants ne peut escamoter le fait qu'il y a en moyenne 120 attaques au couteau par jour, en France métropolitaine (dont 2 ou 3, au maximum, seront connues). Dans notre recherche des causes réelles de ce drame quotidien, nous avons proposé hier une première piste de réflexion. En voici d'autres.
(2)- Le refus de voir arriver la ''reine'' de batailles –cette ''Uhm el-Herb'' dont rêve l'islam. Il s'agit de lagrande bataille finale entre l'islam, d'un côté... et tout le reste de l'humanité, de l'autre. Au cours d'une longue vie au cours de laquelle mes chemins se sont très souvent croisés avec ceux qu'emprunte l'islam –et, je dois le dire, le plus souvent dans l'harmonie, j'en parle souvent ici-- je n'ai jamais pu comprendre comment toute une tranche de soi-disant ''penseurs'' occidentaux avait pu être aussi aveugle avec ou sur tout ce qui touche à l'islam. C'est bien simple : tout semble se passer comme si ce seul mot éteignait toute intelligence –dans la mesure où ils en avaient une-- chez les intellectuels de gôche.
Le lien entre le sujet que nous survolons depuis 48 heures et ma colère actuelle devant le néant officiel, trouve sa source dans la double volonté, qui n'est plus à démontrer, qu'ont nos gouvernants de supprimer la France en tant que ce qu'elle a été et est encore un peu, et de prétendre faire ''vivre ensemble'' des communautés dont tous les référentiels sont non seulement à l'opposé les uns des autres, mais incompatibles. Et nos nuls-au-pouvoir, qui frôlent sans cesse dangereusement (pour nous plutôt que pour eux, qui se sont fabriqué une fausse impunité), la non-assistance à ''pays en danger'', ont fait le choix de privilégier sans vergogne tout nouvel entrant (NDLR : qu'on pourrait qualifier un tout petit peu de ''envahisseur'', tout de même, non ? Quand c'est si proche de la réalité et même revendiqué clairement, ce n'est plus une insulte de le dire !) au détriment de l'ancien occupant... qui est contraint par un système infâme mais violent de laisser peu à peu sa place.
L'aboulie (du grec a-voulia = indécision) chronique et savamment entretenue qui caractérise les ados prolongés auxquels, de manière inexplicable, nous avons demandé de nous guider (vers des futurs dont ils rêvent mais dont pas un seul n'est souhaitable, ne serait-ce que ''pour de rire''. Les rêves des enfants sont les cauchemars des adultes !) les rend strictement incapables de choisir entre une version américaine des choses, le ''open bar'' où chacun prend ce qu'il veut, à son libre choix, et l'auberge espagnole où chacun amène ce qu'il veut, selon ses goûts. Ils ont inventé une version soi-disant française, le ''ni... ni...'' où chacun serait libre de faire et dire n'importe quoi.
C'est dans ce cadre-qui-n'en-est-pas-un que nous ''importons'' des familles, des villages, voire des tribus entières, dont les cultures, les mœurs, les us et coutumes, les croyances et les motivations sont à l'exact opposé des nôtres... qu'ils rejettent et détestent en bloc. De cette ''confrontation'', dans laquelle un seul des protagonistes a la violence absolue dans son référentiel culturel, et dans laquelle l'autre est non seulement le point d'aboutissement de 20 siècles de ''civilités'' mais où il est accusé par système d'avoir tort par principe, puisqu'il est blanc, pas musulman, et seul vrai ''propriétaire des lieux'' de toute éternité... un seul va finir sous les coups de couteau. Et c'est lui qui sera l'accusé, le coupable n'ayant droit qu'à des excuses... ou à un diagnostic psychédélique...
A leur arrivée, on n'impose aux envahisseurs déclarés (car ils le sont et reconnaissent l'être, sans limite et sans pudeur, avec le culot de celui qui, se sentant protégé, veut imposer à l'autre sa manière de vivre), aucune obligation et aucun engagement. Et même, bien au contraire, quelques esprits malfaisants, qui n'ont rien compris, leur racontent, comme si c'était vrai, que le seul fait qu'ils soient totalement et rigoureusement incompatibles avec tout ce que nous sommes, croyons, pensons, voulons, désirons et aimerions... serait (je cite) : ''un enrichissement pour la France''... ce qu'ils comprennent très vite puisque c'est faux, contrairement à tout le reste, qu'ils rejettent en bloc puisque c'est vrai. Allez être étonnés, ensuite, quand toutes ces folies tournent en eau de boudin, et qu'il ne reste plus que les yeux pour pleurer et des marches blanches stériles et inutiles, pour... aucun résultat autre que la poursuite d'une invasion qui n'est pas ''militaire'', qui ne dit pas son nom (Wokisme ordonne !), mais n'en est pas moins ''de substitution'', à terme !
Les vrais responsables, politicards ou journaleux ancrés à gauche sans plus même s'en rendre compte ni savoir pourquoi, lancent leurs habituels anathèmes menteurs, leurs faux amalgames et leurs récupérations à la gomme contre, en vrac, les réseaux sociaux, la police, et la droite, qui, pour eux, ne peut être que ''extrême''... (NDLR – Lorsque Marion Maréchal ou Eric Zemmour disent être ''contre les coups de couteaux'', c'est de la récupération. En revanche, lorsque la pauvre Maman du pauvre petit Shems ed-dîn est contrainte par des islamistes de dire le contraire exact de tout ce qu'elle a hurlé, dans son désespoir, c'est de la démocratie... et des juges indignes font semblant de croire à ces tissus de bobards ! Et lorsque le Papa du pauvre petit Matisse croit refuser ''la récupération'' au (faux) prétexte que ''tous les musulmans ne sont pas etc...'', il la favorise, au seul profit des assassins de son fils, le pauvre : attendez la vraie confrontation et vous compterez les ''qui... ne sont pas'' sur les doigts d'une seule main ! Mais ce lavage de cerveaux est un autre sujet, dramatique aussi).
(3)- Autres responsables cachés de notre détresse, devenant sans espoir : le monde tel qu'il évolue semble ne vouloir se déplacer, dans tous les domaines, que dans le sens du ''pire'' pour le futur de l'humanité... Un exemple : la très progressiste Ursula von der Leyen (NDLR : ''der Leyen'' pouvant se traduire par ''dans la soie'', Napoléon en aurait sans doute tiré quelque savoureuse pique, comme celle décochée à Talleyrand : ''de... dans un bas de soie'' !), tient le courageux Victor Orban sous le coup d'une condamnation permanente, au prétexte qu'il a compris, lui, que la folie du moment, qui priorise et encourage le changement de sexe des ados, ne peut mener qu'à des tsunamis de suicides, de catastrophes et de drames irréversibles.
Les obscénités dites ''soclétales'' qui sont référencées, dans la doxa officielle, comme étant ''les valeurs de l'Europe'' (Quelle honte ! Pauvre Europe !), ne sont qu'un amas insensé de délires, tous mortels, qui ne visent, en gros, qu'à la promotion déjantée d'expérimentations vouées à l'échec, de perversions ou d'anomalies sexuelles, de pathologies mortelles pour l'avenir de ''nos enfants'' et de comportements répréhensibles au jour-le-jour et sans espoir quel qu'il soit, à terme. Ce sont, malheureusement, les dernières portes qui restent entr'ouvertes... alors que leur seule existence est largement plus dommageable que si elles étaient restées oubliées !
Il en va de même dans tous les domaines, mais il est interdit de le dire : les faux démocrates au pouvoir ont vite fait de transformer leurs contradicteurs en délinquants idéologiques et à les mettre au ban de leur lamentable univers, et je dois donc arrêter de dire la vérité, par crainte des représailles (NDLR... que j'ai fréquentées de près : ma fille Alexandra a eu le tort impardonnable d'avoir eu raison sur absolument tout ce qu'elle avait démontré scientifiquement. Il a fallu sa force de caractère pour transformer leur haine venimeuse en déroute piteuse...).
Mais malgré la violence que met ce troupeau de menteurs malfaisants pour tenter de faire croire à ses mensonges, chacun est encore libre de laisser filer sa pensée vers les drames infinis qui sont les seules portes qui nous restent encore ouvertes vers des futurs qui, tant qu'ils seront au pouvoir, n'en sont plus et ne peuvent en être... (à suivre).
H-Cl.
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Ma transidentité
Je me suis toujours beaucoup questionné sur mon genre. C'est pas facile de poser un mot là-dessus, n'est-ce pas ?
Déjà, je pense que le concept de genre ne devrait pas exister. Ce serait bien plus simple XD
Mais je trouve ça sérieusement logique. Le genre à la base, c'est juste un ensemble de stéréotypes : les filles ça aime le rose et c'est délicat, les gars ça aime le foot et c'est brusque etc... Pourtant, il paraît évident aujourd'hui que c'est pas à cause de ce qu'on a entre les jambes qu'on préfère telle couleur ou jouet. Le genre n'a pas de rapport avec le sexe biologique, et c'est bien pour ça qu'il y a la fameuse citation "on ne naît pas femme, on le devient" : quand on naît la société ne nous a pas encore influencé, mais quand on grandit on finit par correspondre aux attentes sociales et c'est cela être une femme ou un homme.
Pourtant ce concept subsiste, alors que les personnes s'affranchissent de plus en plus de ces stéréotypes. De plus chaque individu est unique, les personnalités de tout le monde ne peuvent pas rentrer dans ces deux cases. alors les différents genres se multiplient... deviennent compliqués et innombrables, suffit de regarder le wiki lgbt pour le voir (alors que je me considère comme quelqu'un de renseigné sur le sujet). Ce n'est pas quelque chose de mal, c'est pour pouvoir désigner tout le monde, mais c'est juste impossible. Même moi qui souhaite être respectueux envers tout le monde, je finis par m'emmêler les pinceaux.
Chacun a une expérience identitaire unique. Il y a les traits de caractères pour définir ça, le genre c'est juste des stéréotypes. Arrêtez de vous embêter avec ça, à définir les gens par leur genre.
Je pense qu'on devrait juste voir des êtres humains, et que le sexe est une caractéristique comme les autres. Ça ne définit pas une personne.
Malgré cela, j'ai un genre. Je trouve que je correspond à ce genre, même si j'aurais préféré que le genre en général n'existe pas. Mais si on me le demande, je suis bien de genre masculin. Ma dysphorie de genre est en partie liée à cela, que je suis masculin et que je suis né fille. Mes pronoms sont il/lui, et j'aimerais que l'on me traite comme un homme tant que le concept de genre existe.
Je m'en fiche très littéralement de la façon dont les personnes me voient et me parlent, et ça ne me fait ni chaud ni froid d'être mégenré, excepté par mes proches. Cependant je n'apprécie pas quand des personnes me mégenre "volontairement", ou à répétition en étant totalement au courant que je suis transgenre, car j'ai l'impression qu'on se fout de ma gueule, ce qui est malheureusement rarement juste une impression.
Cependant en dehors du genre, je ressent un profond mal-être physique, pas à cause du fait que je sois beau ou non, ou même trop maigre (même si j'ai longtemps trouvé que c'était le cas) mais à cause de ma poitrine. Ce n'est pas que je veux ressembler à un homme (même si cette idée me plaît) mais que juste grandir avec des caractéristiques physiques féminins m'insupporte au point d'avoir envie de vomir. Je veux faire des opérations dans ma transition principalement parce que mon corps, en dehors du contexte de mon genre, m'est insupportable. J'en suis presque à me demander si mon genre masculin est issu de ce mal-être physique plutôt que l'inverse.
Pour le reste, les cheveux longs sont désagréables pas au point d'être insupportables, et mon sexe ne me dérange pas spécialement même si je préférerais être né garçon.
Je sens mon corps entièrement masculin, comme quand je sens les membres fantômes de loup lorsque je shift car je suis wolf-hearted. Par contre dans le cas du shift, avoir un corps de loup n'est pas quelque chose que je souhaite voir réalisé sauf temporairement ou en rêve, alors qu'avoir un corps masculin est quelque chose que j'aurais aimé voir se réaliser réellement de façon définitive.
Pendant longtemps, je ne comprenais pas pourquoi j'ai ce mal-être par rapport à mon corps. Se sentir appartenir au genre masculin par rapport à son vécu et caractère ça je comprend. Mais le fait que je sois transgenre vient principalement de ce mal-être physique je ne le comprend absolument pas, et j'ai d'ailleurs longtemps rejeté ce mal-être.
Je trouvais en effet que ce mal-être physique et souhait d'avoir un corps masculin ne soit pas logique par rapport à mes croyances (j'ai pas de religion je vais m'expliquer), même si je dois bien me rendre à l'évidence que c'est ce que je ressent, je ne peux pas changer ça. En fait j'aime l'hypothèse des vies antérieures, même si je pense ne pas détenir la vérité et que personne ne puisse dire si les vies antérieures existent ou non. Cependant en partant du principe des vies antérieures à laquelle j'adhère, on peut s'incarner en toute forme de vie tant qu'elle est dans le cycle de notre planète (je vulgarise un peu car je n'ai pas les termes et je ne suis pas expert). Donc en animal que ce soit de sexe mâle ou femelle (en n'oubliant pas que l'humain est un animal, très con, mais c'est tout de même un animal). Donc le mal-être physique que j'ai n'a pas de sens, car on peur s'incarner en homme ou femme… Notre âme n'a pas de sexe ou de genre.
Ça m'embêtais mais je suis du parti qu'il faut écouter ce qu'on ressent, même si on trouve que ça n'a pas vraiment de sens. On est pas obligé de tout savoir et expliquer, et je pense que c'est tant mieux dans la plupart des cas, même si dans ce cas c'est quand même très embêtant.
Il y a peu de temps j'ai posé la question à ma mère (subtilement car elle n'est pas au courant que je suis trans) car elle a beaucoup de connaissances à ce sujet. Elle m'a expliqué que de ce qu'elle a compris, avant chaque incarnations son âme se "prépare". En quelque sorte on lui annonce sa prochaine forme, famille etc. Cependant si l'âme s'incarne dans le sexe opposé à celui annonce, il y a un décalage avec ce à quoi il s'est préparé et donc... dysphorie. Encore une fois il n'y a rien de prouvé là-dedans, mais j'adhère au concept de vies antérieures. Ça me donne une explication à ma transidentité, mais aussi à d'autres choses même en dehors de mon cas comme pour les thérians (qui s'explique généralement par les vies antérieures plutôt que par une incarnation "ratée") etc.
Juste ce pavé pour poser ça à l'écrit, et mettre ça en ordre dans ma tête aussi. Mais plus j'ai écrit ce texte, plus je me suis senti sûr de ce que je suis. Et ça, ça fait du bien.
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24 mars
j'ai pleuré devant la la land ce soir, quand emma stone passe son audition et qu'elle raconte l'histoire de sa tante qui est tombée dans la seine, je me suis mise à sa place quand ils lui disent just tell us a story, qu'est-ce que je raconterais comme histoire moi en impro comme ça mon dieu j'y arriverais jamais, et puis je me suis rappelé du stage de théâtre à prague et de mon histoire sur paris/l'islande et des réactions que ça avait suscité et je me suis dit SI bien sûr que j'y arriverais, i'd fucking NAIL IT. ce qui me fait pleurer dans cette scène à chaque fois c'est quand elle dit here's to the ones who dream, foolish as they may seem, here's to the hearts that ache, here's to the mess we make. j'ai un peu honte d'aime la la land mais c'est comme ça.
25 mars
cet après-midi pendant que le kiné me manipulait la nuque et les épaules il a fait une manip qui aurait pu se terminer en étranglement s'il avait continué et je me disais vas-y, étrangle-moi, qu'on en finisse, j'étais tellement bien entre ses mains avec le soleil qui me caressait le visage et le bruit des oiseaux qui entrait par la porte du jardin entrouverte que ça m'aurait rien fait de mourir entre ses mains là sur le champ. il faudrait qu'un kiné me manipule la nuque à chaque fois que je commence à spiraler comme ce weekend. j'avais l'impression qu'en manipulant tous mes gros noeuds il arrivait à voir tous mes gros soucis. j'avais envie qu'il me demande comment ça va et que je puisse dire pas bien du tout et qu'il me dise de tout lui raconter et puis qu'il arrive à tout remettre en ordre, ma nuque et ma vie. il s'est laissé pousser les cheveux depuis la dernière fois, ils sont longs et bouclés maintenant. il portait un serre-tête. j'aimerais bien être son amie, il a l'air cool.
ce matin en regardant mamma mia 2 avec m. quand j'ai vu amanda seyfried entrer dans l'église avec son bébé dans les bras je pensais à cette deuxième moi, cette moi alternative dénouée, ou raisonnablement nouée, normalement nouée. cette moi qui pourrait avoir un bébé elle aussi, même si j'en veux pas. une moi vivante, une moi qui vit. j'ai l'impression qu'elle existe, en parallèle de la moi que j'habite dans ce monde. parfois je pense à elle. comme quand j'ai vu amanda seyfried avec son bébé ce matin. amanda seyfried a le don de me faire entrevoir une vie meilleure. en 2016 quand je la voyais claquer du pied sur le toit d'un immeuble parisien pour allumer la tour eiffel dans la pub lancôme je me disais que si je ressemblais à amanda seyfried il me suffirait de claquer du pied avec mes escarpins pour faire apparaitre mon appart de rêve à berlin un job dans une petite librairie indépendante et une fille qui m'aime.
26 mars
j'ai enfin acheté des nouvelles lunettes de soleil, des jolies, avec des verres assez foncés pour cacher mes yeux. mon oeil est hors de contrôle, la paupière est énorme et j'ai le visage tout gonflé, je ressemble à rien et ça me donne encore moins envie de sortir de la maison, donc je me suis dit tant pis pour l'argent je vais m'acheter des lunettes de soleil qui me plaisent et je les porterai même les jours où il fera gris. elles étaient pas très chères en plus j'ai payé 170 euros en tout. quand je suis entrée dans le magasin j'avais envie de pleurer parce que je venais d'avoir une discussion sur mon visage gonflé avec m. qui me disait qu'elle aussi elle avait le visage gonflé et j'ai dit oui mais toi t'es pas défigurée et elle a dit je sais. comme je me sentais un peu seule j'ai demandé à un des opticiens de me donner son avis, malgré mes gonflements, mes plaques rouges, ma peau qui pelait entre le menton et la lèvre inférieure, mes cheveux gras et le col de ma doudoune couvert de pellicules, mais l'opticien s'est révélé être un excellent commerçant parce qu'après avoir passé une heure ensemble il m'avait presque convaincue que j'étais jolie. je crois que ça m'a fait presque autant de bien que le massage du kiné hier. il me massait avec de la gentillesse et de l'attention. il m'écoutait avec ses yeux bleu ciel un peu écartés, se pliant à mes moindres demandes, et à chaque fois qu'il devait toucher aux lunettes posées sur mon nez pour vérifier les réglages il demandait j'ose? et je disais mais oui allez-y touchez-moi autant qu'il vous plaira ne vous gênez pas.
1er avril
au soleil soleil soleil dans le jardin d'hélène, il me fonce droit dessus. j'étais censée être chez m. là en train de faire des brioches lapin de pâques et commencer ma semaine bruxelloise que j'avais remplie à ras bord de trucs à faire tous les soirs. j'avais très peur de me retrouver dans le lit de sébastien avec maman hier soir à étouffer mes pleurs silencieux pour pas la réveiller comme une fois chez martine y a longtemps, mais tout s'est bien passé. j'ai dormi seule dans le lit de juliette avec le livre de l'intranquilité de pessoa et je crois que j'ai eu une espèce de sugar rush littéraire, j'avais le corps qui frémissait d'excitation en lisant la première page. j'avais lu l'introduction samedi soir au lit et déjà ça m'avait mise dans un état de fébrilité à l'idée d'enfin rencontrer fernando pessoa. hier dans la voiture à chaque fois que j'avais un coup de putain de merde qu'est-ce que je fous encore dans cette voiture avec maman, je pensais au livre de l'intranquilité dans mon sac à dos et je me sentais réconfortée. c'est pas grave si je suis morte-vivante, pessoa dit que quand on vit on est mort, mais écrire donne un sens à la vie-mort ou à la mort-vie. c'est pas grave si j'ai pas d'amis avec qui passer mes vacances et que je me trimballe derrière maman comme un boulet éternel et que personne, mais alors personne ne like ce que je poste sur ig, j'ai pessoa qui vit-meurt ou meurt-vie dans mon sac à dos.
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Les quartiers de Downhill
⸻ centre-ville, Old Towne
Cœur bourdonnant de Downhill, le centre-ville rivalise d'inventivité pour offrir de quoi faire à ses habitants et les quelques visiteurs qu'il accueille tout au long de l'année. Presque tout y est toujours ouvert, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, si bien qu'on ne peut jamais s'y ennuyer. C'est comme si la ville n'avait jamais besoin de trouver le sommeil. Si le centre-ville accueille avant tout de nombreux commerces et les bureaux de diverses entreprises, on peut malgré tout y trouver des logements qui varient entre des appartements étroits mais abordables aux grands appartements et lofts luxueux.
⸻ ceinture urbaine, Parker's Lane
Banlieue qui encercle le centre-ville, Parker's Lane n'était au départ qu'une simple avenue, mais les années et l'expansion de la ville l'ont forcée à s'étendre jusqu'à ce qu'elle devienne la ceinture qu'elle est aujourd'hui, avec ses nombreux bras qui s'étendent vers l'horizon. Bien moins animé que le centre-ville, Parker's ressemble plus à l'image que l'on se ferait d'une petite ville américaine sans importance. Ici, on oublie les grandes chaînes commerciale, on n'y trouve que de petites boutiques locales et sans ambition. Vivre à Parker's revient aussi beaucoup moins cher que le centre-ville, avec l'avantage de pouvoir s'offrir une maison.
⸻ zone industrielle, Eastwater
Eastwater a la réputation qu'il mérite, malgré son nom qui rappelle le sens de l'humour des habitants. Coin reculé de la ville, un peu délaissé par le temps et abandonné par le désintérêt du reste de la ville. Ce sont vieux entrepôts, usines encore en activité et endroits insalubres qui peignent une grande partie de son paysage. En se rapprochant de la ville, on y retrouve des maisons, moins grandes qu'à Parker's Lane et bien plus délabrées, ainsi qu'un trailer park et surtout, en face de ce-dernier, son motel miteux mais tant adoré.
⸻ zone résidentielle, Cove Road
Une immense maison avec vue sur la mer, est-ce que ce ne serait pas ça le rêve américain ? C'est en tout cas ce que pensaient ceux qui ont construits Cove Road, au diable les arbres centenaires, on veut un vrai paysage qui donne envie de se réveiller le matin. Cove Road est un endroit idyllique, qui donne l'impression de ne pas vraiment avoir sa place ici en plein milieu de l'Indiana. Les plus fortunés de Downhill y ont élu domicile dans leurs grandes et belles maisons qui valent des centaines de milliers, voire beaucoup plus. Et ils s'y sentent merveilleusement bien.
⸻ lac et alentours, Chester's Lake
Les forêts qui encerclent la ville et les alentours qui donnent des frissons à tout ceux qui oublient que la nature sauvage reprend toujours ce qui lui revient de droit, son lac immense qui ferait rougir de honte le lac Michigan, et surtout ses brouillards épais et inquiétants qui décorent le bon matin. Il y a aussi le club de paddle et d'aviron au bord du lac, une adorable petite escapade nautique pour ceux qui n'ont pas peur de tomber à l'eau.
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120124 Tous les mercis deviennent des bravos. Héroïnes et héros des rapports sociaux, chaperons de la communication, sauveurs de l'humeur général qui tournait à l'aigre.
+ Je suis gros de tant d'années d'idées que pour me vider il faudrait me taire jusqu'à la mort. Je finirai donc obèse de cris du coeur et d'obsessions, ç'aura été riche tout ça et adieu Berthe.
+ Ah le plaisir de lancer un mot ou deux et de voir une phrase s'en échapper, la suivre et la pousser de mes doigts, m'emplir les sens des sens (j'entends tout, je touche les touches, je vois bien, j'ai du pif, et le reste), peindre la page, tailler la phrase, dirait Manon!
140124 Oil in boil
150124 La lenteur dont on est capable, à quatre heures du matin...
Et de reconnaître les mauvaises choses en les prenant en bouche. Je referai, peut-être, mes placards entièrement si je goûtais tout maintenant.
J'ai lu l'astragale plus longtemps que d'habitude, évidemment puisque d'habitude, il n'y en a qu'aux toilettes et donc en entrecoups. Si je me lève à nouveau plus souvent aussi tôt qu'aujourd'hui, j'aurai enfin fini ce livre bientôt.
Ces deux tôt ne me paraissent pas si proches et ne me dérangent pas.
Je sens ma machine à penser tourner au quart de tour comme en journée, comme au coucher, mais c'est moi qui n'en suis pas le fil, moi, j'ai les yeux mi-clos, je ne sens pas mon corps, je suis hors du temps, il n'est maintenant encore que six heures et le silence dort.
160124 Au sous-sol de l'ombre, endormi et chéri de loin le sommeil se demande mais rien ne réagit à rien, faire s'efface.
(D'après écriture automatique pour paroles, aujourd'hui. Je n'oserais pas la découper si je ne le copiais pas, alors même que je l'ai écrite pour ça...)
+ Bonjour est-ce que vous auriez de l'Armel en poudre? C'est pour reconstituer mon ami qui est mort...
170123 ce qui me semble être la forme la plus efficace pour la phrase la plus importante d'une chanson, d'une musique : un appel : des notes comme un ouhou! lancé d'une fenêtre vers le trottoir ; encore mieux, trois notes : un OHÉ solennel d'une montagne à l'autre et donc dont le O est en mouvement, de grave à aigu.
+ Que tu sois en cendres, ça ne colle pas pour le moment. Surtout que tes lettres sont très très bien conservées.
180124 Qu'Armel soit aujourd'hui poussière, ça m'impressionne dans le sens où je ne le comprends pas. Il n'a plus de visage, plus de corps, ces vues que je connais bien, que j'ai même là sous les yeux, cette consistance animée, tout ça est dans le vent et dans les vagues, désormais, grains encore en train de se séparer au gré des marées. Même si j'y allais maintenant et que j'en trouvais un amas, je ne pourrais pas y voir ne serait-ce que la forme de l'un de ses yeux rieurs. Et si en rêve je prenais toutes les mini-miettes de papier brûlé qu'il est devenu, je ne pourrais, au mieux, qu'en faire une poupée en tassant les éléments et en leur donnant la forme souhaitée, exactement comme avec les pelotes de laine du placard, quand j'étais petit, qui au moins s'accrochaient un peu entre elles grâce aux mini-cheveux de leur laine. Je croyais que c'était comme ça qu'on "cousait". Mais la forme tombait sur elle-même, corps inerte, et se délitait, parce qu'il lui manquait une unité. Je la gardais telle quelle, tant que ma mère ne la rangeait pas.
+ İf what you're doing is not your life, please don't do it. (sadhguru)
190124 La trilogie de Renaud Lambert :
1. La synagogue au loin
2. Tu gênes, Jacqueline
3. De canton en canton
+ Gérer deux-trois guerres
+ Voir l'eau
200124 Go gilt-trip your mother
220124 Elles ouvrirent les cages et tous les rois s'enfuirent, certains avec les clés entre les dents.
+ Je relis Kafka sur le rivage, j'en suis au passage où le titre apparait pour la première fois et j'ai un peu pleuré comme toi, franchement et avec le souffle court, ce qui m'a rappelé que je t'ai offert ce livre. Il est beau, tu verras.
+ Renaud Lambert fait des doudous liste bourré.
+ Crémation: si le gars est une ordure, on parle d'incinération.
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Abandonner tout... Ça me tenterait bien... Mais jusqu' où traîner ma carcasse... Elle devient lourde avec ses regrets et tous ses cadavres qui me suivent partout... Leur creuser une tombe... J'ai tant essayé... J'ai noyé la douleur dans mon sang... Dans les larmes... Mais mon coeur est usé et je vieillis si vite... Tout se décompose malgré les efforts... Je ne dors plus sans la peur au ventre d'un réveil soudain... En finir... Ne laisser qu'un goût amer de mon passage sur cette planète... Enfin si j'ai pu compter ne serait ce qu'une poignée de secondes... J'ai donné jusqu'à mes rêves, mes espoirs... Pour au final finir seule... En tête à tête avec la mort qui me nargue... C'est trop facile d'achever ma vie ainsi... De décider de craquer après des années à serrer les dents... Certes je pars en lambeaux... Mais mes démons intérieurs vont devoir comprendre que je suis trop têtue pour lâcher prise... Je vis un cauchemar permanent... Avec la haine qu'on m'a injecté... Je rêve parfois encore de paix sombres et de paysages nocturnes... D'un lieu qui reflète ce que j'aime... De briser le silence avec ma plume... De plaire aux miroirs brisés... D'aimer exister différemment... Marcher la tête levée vers les étoiles... Être essoufflée à force de rire... Ne plus suffoquer dans un recoin de ma chambre... Jeter les lames rouillées... Mes craintes... Mes séquelles... Accepter qu'on me touche à nouveau... Puis la réalité me rappellent que les hommes sont néfastes... Violents, abusifs, haineux, brutaux... Manipulateurs, menteurs... Alors je retourne au fond de mon trou... Et le temps m' emporte peu à peu... Étrangement je n'ai pas peur de m' éteindre à petit feu... Je suis simplement déçue de voir que les gens se ressemblent tous... Que personne ne s'attache réellement... Puis les abandons je m'y fais... Ils sont aussi nombreux que les entailles sur mon coeur... Le néant est réel... Et pas uniquement pour moi...
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« Tous croyaient à chaque instant que le royaume tant désiré allait poindre. Chacun s'y voyait déia assis sur un trône a à côté du maître. On s'y partageait les places; on cherchait à supputer les jours. Cela s'appelait « la bonne nouvelle »; la doctrine n'avait pas d'autre nom. Un vieux mot, paradis, que l'hébreu, comme toutes les langues de l'Orient, avait emprunté à la Perse, et qui désigna d'abord les parcs des rois achéménides, résumait le rêve de tous: un jardin délicieux où l'on continuerait à jamais la vie charmante que l'on menait ici-bas. Combien dura cet enivrement? On l'ignore. Nul, pendant le cours de cette magique apparition, ne mesura plus le temps qu'on ne mesure un rêve. La durée fut suspendue; une semaine fut comme un siècle. Mais, qu'il ait rempli des années ou des mois, le rêve fut si beau que l'humanité en a vécu depuis, et que notre consolation est encore d'en recueillir le parfum affaibli. Jamais tant de joie ne souleva la poitrine de l'homme. Un moment, dans cet effort, le plus vigoureux qu'elle ait fait pour s'élever au-dessus de sa planête, l'humanité oublia le poids de plomb qui l'attache à la terre, et les tristesses de la vie d'ici-bas. Heureux qui a pu voir de ses yeux cette éclosion divine, et partager, ne fût-ce qu'un jour, cette illusion sans pareille! Mais plus heureux encore, nous dirait Jésus, celui qui, dégagé de toute illusion, reproduirait en lui-même l'apparition céleste, et, sans rêve millénaire, sans paradis chimérique, sans signes dans le ciel, par la droiture de sa volonté et la poésie de son âme, saurait de nouveau créer en son cœur le vrai royaume de Dieu! »
Ernest Renan - Vie de Jésus
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C'est que je m'oublie parfois ! Ça va pas ! Ça va plus ! Comme ça... Je regardais des vieilles photos de mon adolescence, comme j'étais bête ! Mais faut bien dire que j'étais sacrément enthousiaste de la vie. J'avais pas encore peur c'est vrai... C'est peut-être ça qui m'a tant refroidit ces dernières années, l'installation de la peur quand il a fallu devenir adulte. Ha oui ! Ha comme j'étais bien n'empêche ! J'étais con et plein d'illusions. J'aurais aimé, il doit y en avoir des comme ça, être pas trop con et plein d'illusions quand même. Moi j'ai muri après avoir perdu mes illusions. Tout ce que j'ai vécu, tout ce que j'ai rêvé plutôt ! N'empêche ! C'est pas donné à tout le monde d'avoir été aussi abruti de rêves et d'espoirs. Mais, des rêves et des espoirs comme ça... Rien de sérieux, rien d'intelligent, des illusions de gamin... Une poésie tout à fait absurde en vérité. N'empêche que je n'en suis pas revenu totalement. C'est ce qu'on appelle le paradis perdu j'imagine... Je sais plus très bien de quoi je suis capable à présent. Au fond, je me prendrais bien à rêver de nouveau, à me faire de nouvelles illusions, à réenchanter l'existence un petit peu, à ne plus la voir comme un réservoir d'angoisse, de douleur et d'ennui. Ha la vie est trop immense, je me rends bien compte... Y'a de tout... Y'a trop de choses dans la vie... Trop de destins. Trop de façon d'être et de vivre. Y'a des milliards d'univers rien que pour nous humains ici sur terre... C'est trop... C'est pas facile d'en choisir un... Moi j'ai peur de me gourer... De me dire après coup que j'aurais du prendre l'autre univers d'à côté, ou de là-bas... C'est pas facile... On peut toujours en changer mais je crois que ça se fait pas trop... Faudrait demander... Moi déjà j'en ai changé souvent en vérité... De ça j'ai un peu honte c'est vrai... Ça fait pas trop sérieux... Ça fait celui qui sait pas, qui se cherche. C'est vrai en plus, je sais pas, je cherche encore... Allez, te flagelle pas trop... L'époque est difficile, atroce même, super bizarre... Faut être sacrément con, parfait forcené pour se trouver serein face à demain, pour croire encore à quelque chose. Mais sûrement qu'à l'époque de ta sublime connerie il y avait des blasés tout comme toi maintenant, qui voyaient plus rien dans les choses comme toi... Sûrement, c'est la ritournelle des âges, de tous les âges. On naît meurt à chaque seconde. Alors garde gaité. C'est tout ce qui compte ici-bas. Tu devrais te débarrasser de tes livres, oublier un peu philosophie, spiritualité... Ça t'a apporté que des emmerdes en vérité, des tristesses, des nostalgies d'avant ça. T'es grand maintenant ! T'as les principes ancrés ! Tu saurais t'en sortir de tout !... Profite un peu...
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Je sais pas comment j'ai pu rater cette occasion- Mais je suis la pour le DVD commentary !! :DD
Et sans grande surprise j'aimerais tout savoir sur Lux Lunae ! J'aime trop comment tu met en scène cet univers !!
J’ai eu beaucoup de mal à choisir un seul passage, du coup j'en ai pris 2 qui font 500 mots à eux 2. ( J'espère que c'est okay )
Donc de "Elle n’avait pas pour habitude de sortir la nuit..." à "..y a pas grand monde que j’aimerais voir là-haut.” Pour la première.
Et "Un battement. Deux battements. Trois battements..." à "...un monument à l’inévitable et à l’éternité."
(Referring to this ask game)
Ohohoho, kitty time !! :3c
Et 😭 oui c'est ok, prenez des extraits de plus 500 mots si vous voulez, je suis pas à ça près X) Voire plusieurs extraits, en fait, moi on me donne l'opportunité de ramble sur mes fics je suis ravie–
Elle n’avait pas pour habitude de sortir la nuit – et encore moins de le faire sans la protection d’un ou deux gardiens. Même les chatons le savaient : la ville était sans pitié pour ceux qui s’y égaraient, et sans soleil pour veiller sur eux, ils n’avaient plus un chat à prier.
(Les gardiens étant l'équivalent des guerriers, Béa/Tournesol n'a pas l'habitude de sortir sans ; techniquement cette ligne est. Un peu stupide vu qu'on apprend quelques paragraphes plus tard qu'elle est accompagnée par Liam, mais shhh– Je réalise d'ailleurs maintenant que la ligne sur le soleil insinue un peu que les chats de la Colonie ont un genre de religion autour du soleil, mais c'est pas le cas, hein, c'est juste. Plus safe en journée en ville X'))
Enfin, si. Elle en avait, maintenant, des chats à prier.
Ç’avait été une découverte déroutante. Toute sa vie, elle avait vécu sans croyances, s’était dévouée à son rôle de guérisseuse, malgré des méthodes qu’on lui reprochait peu orthodoxes mais qu’elle ne considérait que comme une façon comme une autre de sauver des vies. Toute sa vie, elle s’était jugée seule responsable des vies qu’on lui confiait, des vies qu’elle avait entre ses pattes.
(Petite référence aux saignées de la Béa canon, même si honnêtement j'ai aucune idée de comment ça se retranscrirait dans l'AU – est-ce qu'elle. Mort ses patients jusqu'au sang ? À réfléchir... ou pas, d'ailleurs 😭)
Et voilà qu’on lui présentait une puissance autre. Une puissance supérieure, capable de régir la vie des chats de Gangs, de leur apporter leur aide ou, au contraire, de les maudire s’ils leur désobéissaient.
(En utilisant Béa/Tournesol ici, j'utilise une technique très commune dans pas mal de fantasy, qui a probablement un nom, mais que j'appelle affectueusement "je lance un pèquenaud qui connaît rien au système du coin pour l'introduire au lecteur non initié" <3 D'ailleurs, techniquement, de tout l'OS, c'est le passage avec Yann qui est venu en premier ! À la base je voulais juste écrire un passage cryptique avec une apparition de Yann, et j'ai même failli utiliser MT en personnage principal (et réduire tout ça à un rêve qu'il finirait par shrug off au réveil), mais Béa me fournissait plus d'opportunités de subplots et me permettait de coller au thème Lune, sur lequel j'avais très envie d'écrire :])
Où avaient été ces chats, tout ce temps, lorsqu’elle s’était battue contre le temps, tentant désespérément de garder en vie une âme qui lui échappait ?
(Petit questionnement à la Papillon ✨ ... enfin je crois, mes souvenirs de Papillon sont vagues et j'en suis pas arrivée là à ma relecture du cycle 2, mais c'est l'idée que j'en ai en tête X))
Elle avait du mal à croire en eux, elle devait se l’avouer. Mais intégrer le Gang signifiait accepter ses traditions, et ce voyage au clair de lune n’en était qu’une parmi tant d’autres.
(Le clair de lune..... *sigh* la première version de cet OS parlait de pleine lune, parce que je pensais que c'était là que se réunissaient les guérisseurs, pour une raison ou une autre ? Puis j'ai relu le tome, quoi, 3 ? Et j'ai réalisé que c'était à la demi-lune qu'ils se retrouvaient. Puis j'ai lu le tome 5 et en fait c'était à la nouvelle lune qu'ils se retrouvaient. Puis j'en ai discuté avec Spotty et en fait non c'était bien la demi-lune– bref, tout une histoire X'))
“Un problème, ma pote ?”
(Si y a bien un problème auquel je m'attendais pas en écrivant cet AU, c'est bien la question des speech patterns, parce que mine de rien, la façon de parler des chats de LGDC est très "simpliste" : ils se tutoient tous, ont tous un niveau de langage globalement courant et family-friendly, s'aventurent peu dans le familier ou le soutenu, et ont rarement des tics de langages bien à eux ; or, ce genre de différences dans le langage, RPZ en regorge– et encore, ça se voit peu dans Ad Nominem et encore moins dans Lux Lunae, parce qu'il n'y a que des personnages qui se tutoient et ont un niveau de langage courant, même si j'ai cru comprendre que les chats qui lâchent des 'putain' avaient surpris, mais pour écrire des personnages comme MT ? MT, le chef de gang qui qualifie tout le monde de reuf et de bitch, menant une cérémonie, ce truc au langage extrêmement précis et solennel ? Ouais, c'est un équilibre à trouver, hein X') Je ne prends bien sûr absolument pas cet exemple à cause d'un potentiel WIP, nooon.....)
Les oreilles de Tournesol Écarlate tressaillirent tandis que se coulait à ses côtés la forme rousse et élancée de Faux Trèfle, l’œil curieux et la queue battante.
“Non, non, pas du tout, m’sieur !” miaula-t-elle prudemment tandis que ses oreilles, par instinct, s’aplatissaient contre son crâne.
(Aslkjsdfs au contraire, les comportements de chats, c'est quelque chose que je m'attendais pas à autant apprécier écrire <3 Les mouvements d'oreilles, de queues, la fourrure, le museau, les miaulements, les feulements, les ronronnements, j'adore écrire tout ce qui est relatif aux habitudes et actions des chats en tant que chats ✨)
Faux Trèfle pencha la tête sur le côté, comme peu convaincu, mais n’insista pas. “Bon. Prête pour ta première rencontre avec nos ancêtres ?”
Non, bien sûr que non. Comment être prête à rencontrer les esprits potentiellement fictifs de chats de Gangs morts ?
Tournesol Écarlate acquiesça néanmoins.
“Tu les as déjà vus, les chats des étoiles, toi, m’sieur ?” tenta-t-elle, en une tentative à peine dissimulée de se rassurer.
Le matou leva le museau vers le ciel.
“Pas vraiment, non. Ils apparaissent pas trop aux guerriers ordinaires comme moi. On est pas assez intéressants pour eux, je suppose.”
Son ton était presque… mélancolique. Presque déçu.
(Est-ce vous aussi vous pensez souvent au fait que 90% des chats ne voient jamais aucun chat ou signe du Clan des Étoiles avant leur mort et croient toute leur vie en l'existence d'esprits qu'ils n'ont pas de chances de rencontrer. Est-ce que vous aussi vous pensez aux jeunes chats qui apprennent que les esprits choisissent certains d'entre eux et en font leurs héros et qui espèrent longtemps être choisis par une prophétie avant de lentement réaliser qu'ils font partie de ceux qui ne seront que des chats ordinaires ? Parce que moi jamais, hahaa... Bref je pense que ce serait le cas de Liam. J'ai aucune preuve et ça sert pas à grand-chose niveau scénario mais. Ouais.)
“De toute façon,” enchaîna-t-il en secouant le museau, “y a pas grand monde que j’aimerais voir là-haut.”
(Et ooh, une angsty backstory qui pointe :3c Techniquement il a pas de backstory décidée, mais j'aime bien me dire qu'il avait pas vraiment d'amis autres que Marcello et que les seules personnes qui l'attendent au Clan des Étoiles sont ses parents, qu'il a pas particulièrement envie de revoir.....)
–––
Un battement. Deux battements. Trois battements.
(Une énumération à trois éléments, aka ce que je fais de mieux 👍 /hj, mais un ami m'a fait remarquer que j'en utilisais beaucoup en lisant une de mes fics il y a des années et j'y repense à chaque fois que j'en fais une T-T)
Tournesol Écarlate avait cessé de compter depuis bien longtemps lorsqu’elle décida qu’elle en avait assez, et qu’elle se contenterait de mentir à Faux Trèfle s’il lui demandait ce qu’elle avait vu.
Lorsque ses yeux se rouvrirent, elle n’était plus à Los Santos.
(Le coup de "le protagoniste attend un changement qui ne vient pas mais découvre que le changement s'est produit hors champ alors qu'iel est sur le point d'abandonner", un classique !)
Elle laissa échapper un hoquet de surprise.
(Apparemment les chats peuvent vraiment avoir le hoquet ; j'aurais mis ça quoi qu'il arrive je pense. J'aurais pas été la première à trop personifier les chats pour que ce soit réaliste X))
Partout autour d’elle s’étendait une vaste plaine semblant infinie, sans un arbre ou un rocher pour en perturber la clarté. L’herbe était agitée d’un léger vent dont Tournesol Écarlate ne ressentait pourtant pas la moindre brise, et le ciel nocturne était parsemé de plus d’étoiles qu’elle n’en avait jamais vues. Le lieu semblait imperturbable, imperturbé, un monument à l’inévitable et à l’éternité.
(Honnêtement je savais plus comment était décrit le lieu où les chats rencontraient le Clan des Étoiles dans les livres (et d'ailleurs je crois qu'il y en a plusieurs, en fait, ça dépend des chats) donc j'ai improvisé une plaine un peu surnaturelle~ Et j'aime beaucoup la dernière phrase mais c'est purement des fioritures, hein, je trouvais juste ça joli X))
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Il n’y a pas d’Autre de l’Autre
«C’est même le principe de la relation intersubjective comme telle, c’est que cet Autre comme lieu de parole nous est immédiatement et effectivement donné comme sujet, c’est-à-dire comme sujet qui nous pense nous-même comme son Autre.
C’est là le principe de toute stratégie : quand vous jouez au jeu d’échecs avec quelqu’un,
vous lui attribuez autant de calculs que vous en faites.» Lacan - Les formations de l’inconscient
Ce qui s'appelle l’Autre avec un grand A (le grand Autre de la psychanalyse), c'est l'instance convoquée par le sujet - qu’il le veuille ou non - du fait même d’être parlant, qui donne un sens (ou pas) à ce qu’il dit, y compris (et même surtout) lorsqu’il se parle à lui-même.
Le grand Autre donne son architecture subtile à la "substance sociale", les significations explicites et implicites, le sens et le non-sens, de chacune des paroles et des actes qui signifient le sujet.
Le paranoïaque ne croit pas au grand Autre, raison pour laquelle il s'imagine toujours un autre derrière l'Autre en ramenant le grand Autre à la dimension d'un petit autre (le semblable) qui manipule et tire les ficelles, ce qui revient in fine à nier l'Autre en tant que tel, c'est à dire l’altérité radicale du lieu de la parole, la forme langagière en tant que telle qui conditionne l’accès au langage…
Moi est le je de l’Autre.
Dans la «communication», chacun ne fait que recevoir de l'Autre son propre message sous sa forme inversée.
L'inconscient c'est le discours de l'Autre, le désir c'est le désir de l'Autre, l'Autre c'est le nom donné à la vérité présupposée qui fait structure de tout discours, la vérité à laquelle nous avons à nous référer implicitement, d'autant plus lorsque nous nous mentons à nous-mêmes.
L'Autre est l'ordre des règles non-écrites qui régit nos paroles et nos actes, la garantie ultime qu'il y a bien une vérité sur laquelle peuvent s'appuyer nos mensonges...
Il ne suffit pas de savoir qu'on est manipulé, encore faut-il savoir qu'il n'y a personne à la place du manipulateur.
Voilà ce que veut dire: l'Autre barré de la psychanalyse (le primat du signifiant sur le sujet).
La manipulation suprême — bien qu’il n’y ait personne à la place du manipulateur — est celle qui nous conduit cependant à penser que nous sommes victimes de forces occultes toutes puissantes.
Mais le "monde", qu’est-ce donc si ce n’est notre fantasme qui se soutient d'un certain type de pensée?
Se délivrer de l’empire de l'opinion constitue un premier pas hors du fond de la caverne.
Depuis sa posture de victime innocente, impassible et indignée, la Belle Âme qui dénonce la corruption du monde y participe pleinement, en donnant consistance, persistance et réalité, à cette corruption du monde qu'elle dénonce.
La fausseté de la position subjective de la Belle Âme réside dans son refus de voir que son éternelle posture de victime indignée face aux cruelles circonstances masque la collusion et la complicité que sa participation implique, qu'elle le veuille ou non.
La leçon de la psychanalyse n'est pas: "renoncez à vos rêves et à vos désirs dénués de sens, la vie est cruelle, acceptez-la telle qu'elle est..." mais plutôt: "vos jérémiades et gémissements ne sont qu'hypocrisie car ils sont le paravent derrière lequel vous vous adaptez à cette réalité faite de manipulation et d'exploitation."
«Je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...»
K. rejette le rôle de victime, dans ses conclusions, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration, c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux.
Voilà le travail de l'idéologie au quotidien, dont nous n’avons qu’une vague impression car nous sommes immergé dans le discours dominant, dont la fonction est de nous mettre dans les conditions de théâtraliser notre indignation, en finissant par dire «je ne suis pas d’accord» ou «je suis d’accord», après avoir ravalé la complexité de chaque position du sujet dans le monde au système préformaté par l’opinion.
Plus le sujet est narcissique, plus il a besoin de l’Autre pour y faire porter ses reproches et sa plainte, et plus il accroît sa dépendance à son égard.
Plus les politiciens sont corrompus, plus ils ont besoin de l'ordre des apparences, des médias en tant qu'ils jouent le rôle de l'Autre "supposé-croire", même si c'est pour les critiquer, les moquer, les vilipender, le plus important c'est que soit maintenue mordicus la croyance de "l'opinion" dans le jeu de fausses oppositions qui leur a valu — et continuent à leur valoir — l’accession au pouvoir...
Lorsque K. quitte la Cathédrale, deux policiers en civil l'attendent pour l'emmener dans un immeuble abandonné et l'exécuter.
Dans la version d'Orson Welles, la raison pour laquelle K. se fait liquider est l'exact contraire de celle invoquée dans le roman (il représente une menace car il a découvert la fiction fondatrice à partir de laquelle le pouvoir existant étend son empire).
La manière dont Welles lit Le Procès transcende les deux approches dominantes de Kafka: l'obscurantiste-religieuse tout autant que la naïve-humaniste, K. est effectivement coupable, mais ce qui le fait coupable, c'est précisément sa protestation d'innocence, le fait qu'il argue avec autant d'arrogance de son innocence, en plaçant toute sa confiance dans une argumentation naïve-rationnelle.
Dans l'univers de K. tu dois d'abord prouver ta culpabilité, les innocents ne pouvant en aucun cas être pardonnés.
L’erreur de bonne foi est, de toutes, la plus impardonnable, dira Lacan…
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Les faux modèles de la Gauche... et leur échec programmé...
Pendant le lamentable quinquennat de hollande, et même avant --lorsqu'un destin sinistre avait mis jospin à Matignon--, on nous bassinait avec les ''modèles'' (?) des pays scandinaves, comme si quoi que ce soit permettait de nous comparer à eux (nos gaucho-pseudo-modernistes'' oubliant de préciser qu'il s'agissait de petits royaumes, mais la présence d'un Roi / d'une Reine, ne les gênait pas : en Socialie, on prend ce qu'on veut, et on jette le reste !).
Souvenez-vous...Pendant toute la sinistre période mitterrandienne, il ne se passait pas de jour sans qu'une comparaison avec un pays scandinave ne vienne alimenter –ou fausser, plutôt-- tout débat. Cette comparaison tendait exclusivement à soutenir la thèse qu'ils étaient ''vachement'' en avance sur nous, qu'ils étaient drôlement plus intelligents, plus ''dans le coup'', et que nous devions impérativement avoir honte de ne pas faire comme eux.. Et (cela coulait comme de source) nous avions bien de la chance d'avoir porté au pouvoir un gouvernement tellement excellent que grâce à lui, nous n'aurions bientôt plus de raisons de remâcher notre honte méritée de ne pas être nés danois ou suédois...
Quelques années plus tard, c'est l'Allemagne qui est devenue le seul objet des fantasmes de nos politicards... (avoir Madame Merkel comme fantasme ne saurait être le signe d'un grand équilibre mental ou psychologique, surtout qu'à partir de 2015, elle s'est mise à ''yoyoter'' dans les grandes largeurs, en ouvrant toutes grandes les portes de l'Europe à ''toute le misère du monde'', sans rien demander à personne, ce qui prouve en quelle piètre estime elle tenait ses soi-disant ''partenaires'' --dont le petit coq gaulois (généralement… le ''coq ''U'', si on me permet, lorsque Marianne décide de tenir tête --temps moyen : 2 minutes-- à Germania, l'une offerte seins nus et l'autre casquée et armée de la tête aux pieds !).
Mais fi ! des réalités et de l'expérience : seule compte la théorie, et celle là était catégorique : l'Allemagne, c'est bien... et on doit faire comme elle (ou plutôt : ce qu'elle permet qu'on fasse comme elle !). Après qu'elle nous ait fait payer, dans notre naïveté persistante de puceaux-par-système (et par vocation), la totalité des premières places qu'elle nous raflait... il a fallu continuer. Et lorsque tout son système s'est bloqué (leur Europe masochiste ne pouvant plus se payer tant de folies et de stupidités), et que leurs paysans (ex-exemplaires), leurs cheminots (ex-parfaits), leurs syndicats (ex-modèles) et leur économie (ex-''de-rêve'') sont partis en ''quenouille'' comme de vulgaires gaulois (ex-prêts à être bouffés tout crus), nous n'en avons rien déduit, rien tiré, rien conclu, alors que, comme le titrait Valeurs Actuelles, notre voisin d'outre-Rhin n'est pas encore le nouvel ''homme malade de l'Europe'', mais c'est la grande pagaille, au pays de l'ordre et de la discipline. On a attendu, pour faire comme eux, une fois de plus. Une fois de trop ?
Car pendant qu'on faisait du sur-place en marche arrière, en passant du hollandisme au macronisme --sic !-- le monde a continué à vivre, lui (et à l'opposé complet de nos visions gelées --comme j'aimerais oser écrire : ''con-gelées''!). Les autres ont bougé, compris, mûri, pigé où ils avaient vraiment ''joué aux cons'', en imitant notre gauche donneuse de leçons contre-productives. Les pays scandinaves ont oublié leurs fausses belles intentions (toutes suicidaires), et l'Allemagne est en passe de devenir un pays normal, avec grèves et bordel (d'ici qu'elle tourne le dos à ce qui subsistera de la fausse Europe si coûteuse... il n'y a pas loin !). En attendant, Paris et Berlin sont assiégées par des Panzer agricoles –bavure collatérale de la formidable idée de nos nuls d'un ''blocus de Poutine'' (qu'est-ce qu'il doit se marrer, celui-là!).
La "vague populiste" qu'ont évoquée avec terreur ces derniers mois nos ravageurs-destructeurs n'a pas encore submergé l'Europe, mais on sait que 2024 est une année faste pour les élections et l'espoir de salut : 46 % de la population théorique du monde va devoir se rendre aux urnes, dans les mois qui viennent, et cela pourrait signifier –enfin-- un vrai changement radical. Histoire de sourire un instant... imaginez une majorité enfin conforme aux souhaits des populations qui se présenterait à Strasbourg ou au Berlaymont, avec des attitudes et des comportements exactement opposés à ceux qui rendent irrespirables les faits et gestes de la grosse Commission actuelle, celle de Madame von der.... Imaginez (on peut toujours rêver!) un Parlement européen où les Verts seraient enfin ramenés à ce qu'ils sont, des néfastes et rien d'autre (de vrais écologistes sont, en revanche, ardemment désirés, en petit nombre)... et qui lèverait enfin l'interdit qui frappe l'utilisation du mot ''immigration'' lorsque c'est lui (ou elle !) qui est la source presque unique de tous nos problèmes... Rien que d'y penser, on a les larmes aux yeux (enfin... un peu !). Car la situation est grave, et plus on attendra pour changer tout lee système de référence à la mode et plus l'atterrissage sur une Terre redevenue amicale à l'homme sera difficile.
Les graves problèmes démographiques de l'Europe sont à peine mentionnés, au quotidien. Le changement de population en cours (qui est nié, contre toute évidence, par ''ceux qui refusent de voir et de savoir'') est traité comme un fantasme "de l'extrême droite". Les faits, cependant, sont indiscutables : en Europe continentale, les taux de fécondité sont très inférieurs au seuil de remplacement de 2,1 enfants par femme : 1,45 en Italie, 1,48 en Allemagne, 1,5 en Espagne, 1,4 en Hongrie et 1,38 en Pologne. En France (1,97) il est moins catastrophique, mais c'est le pays qui a la plus importante population musulmane d'Europe, et toutes les données disponibles montrent que les taux de natalité sont plus élevés dans les familles musulmanes. Résultat : l'Italie perd 250 000 habitants par an, et l'Allemagne a cru malin d'accueillir des millions d'immigrés en 2015 ''pour mettre fin au déclin de sa population'' (sic !), et cet afflux massif d'immigrants musulmans a été un désastre. L'intégration n'a bien sûr pas eu lieu et la plupart de ces nouveaux arrivants sont toujours sans emploi et dépendent des aides sociales pour survivre. Géniale, la Merkel !
Parallèlement, le nombre d'agressions sexuelles et de violences antisémites a beaucoup augmenté rendant la situation inquiétante, et pas qu'en Allemagne : les enquêtes montrent que la plupart des violences urbaines, du trafic de drogues et des attaques antisémites sont le fait d'immigrés musulmans, ce qui a conduit les pays scandinaves à devenir plus intelligents et à renoncer à leur ancien faux angélisme de bazar. Pas la France... où la situation n'est pas très différente, pourtant : pour le Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme (BNVCA), "le coupable est musulman dans presque toutes les attaques antisémites''. Le gouvernement français, qui raconte qu'il veut lutter contre l'antisémitisme, ne veut connaître que "l'antisémitisme de droite et de gauche", mais interdit de mentionner l'antisémitisme musulman, dans cette mortelle ''spirale de l'échec'' à laquelle le condamne une stupide ''omertà'' : énoncer la vérité ? Vous n'y pensez pas !
Dans cette ''spirale du pire'', nos paysans ont pour une fois réussi à faire aussi bien que l'Allemagne –où les tracteurs ont tout de même été autorisés à bloquer la Porte de Brandebourg, notre pouvoir anti-démocratique ayant fixé des ''lignes rouges'' (on voit la différence !). Les dirigeants français en profitent pour accumuler les erreurs, les fautes, les ratages en tous genres avec ces pauvres agriculteurs. C'est terrible, de voir une camarilla de nuls passer à côté d'un problème aussi grave, aussi structurant pour notre futur... sans être capable, une seule seconde, de se sortir de ses mauvaises analyses, de son mauvais vocabulaire et de ses mauvaises idées... ne sachant que répéter, en boucle, son catalogue de fausses solutions qui n'ont jamais marché nulle part, et brandir le spectre de leur fausse Europe dont personne ne veut, sous son déguisement actuel... Où tant de nullité bornée et endoctrinée va-t-il nous mener ? On peut redouter le pire, demain ou... dans quelques jours.
H-Cl.
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